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bjhj2 new Boss

ag

Messages recommandés

alors l'ag ce déroulera le dimanche 26 janvier au terrain de bulles

tous les adhérents y sont convies afin d'y apporter des idées nouvelles les non adhérents peuvent aussi y participer

et nos réfléchirons tous ensemble sur les idée nouvelles est les proposition déjà faite .


Pour ceux qui désirent rouler...........

GRATUIT pour les membres du club.

20 € pour les non membres.


ORDRE DU JOUR

- élection d'un ou d'une secrétaire...comme d'hab, il faut un nom sur le papier. On ne lui demandera rien sauf si il ou elle veut vraiment officier à ce poste.

- Point sur les cotisations: maintien,baisse, hausse. Et renouvellement des adhésions éventuellement.

- Réalisation d'un calendrier de toutes les journées Barjots (manifestations et journées liberté)

- Point sur les "grosses" manifestations en 2014

- Discussion autour de l'idée: rendre le club plus attrayant pour les light. Le challenge "light" est une première il faut je pense réorienter certaines journées liberté sur les light.... comment faire, comment les cibler...et les atteindre.

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Bopapa a écrit:
present aussi j avais poster plus haut


Vi, j'ai vu  bounce bounce bounce bounce bounce bounce cheers cheers cheers 
Mon Bop préféré il vient!!! I love you 

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salut
L'AG par elle même est à quel heure? le matin ou l'aprêm ?

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Roc60 a écrit:
salut
L'AG par elle même est à quel heure? le matin ou l'aprêm ?




bonne question  Suspect 

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L' Assemblée générale débutera à 10 h avec un café. Après apéro,puis poulet au barbecue et chips pour les participants. Ça laissera l’après midi tranquille pour ceux qui veulent rouler un peu. cheers 

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bjhj2 new Boss a écrit:
alors l'ag ce déroulera le dimanche 26 janvier au terrain de bulles

tous les adhérents y sont convies afin d'y apporter des idées nouvelles les non adhérents peuvent aussi y participer

et nos réfléchirons tous ensemble sur les idée nouvelles est les proposition déjà faite .


Pour ceux qui désirent rouler...........

GRATUIT pour les membres du club.

20 € pour les non membres.




WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! ! ! !

Y a du nouveau ! ! ! !!  la-classe  kool   chap   applaudis 

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Les poulets sont sortis du congélo!!!!Je répète "les poulets sont sortis du congélo"



Merci à ceux qui ne ce sont pas encore manifesté sur ce post, de préciser si ils viennent ou pas...(comptage des repas à prévoir)

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carter60 a écrit:
pas de repas pour moi



C'est pas du poulet basket!!! lol! 

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je confirme on est la dimanche  Twisted Evil avec une petite bouche en + mais sa va d'aller avec 2 repas  Twisted Evil 

d'ailleurs qui fait du terrain ?
je pose la question c'est pour lui faire faire un tour !!! sinon je prend le LJ mais bon 20l au 100 sa m'embete un peut !! car y'a 15 jours je l'ai fait  pale 

merci

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Comme tu veux pour le repas en plus, c'est pas un problème...en même temps c'est des demi coquelet, et c'est des beaux coquelets.

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Résumé de la mort du p'tit ch'val dans les bras d'sa mère.....

Jean Rezeau a beau être maintenant éloigné de sa mère, la terrible Folcoche, sa tyrannie le poursuit.
Des années de haine ne l’ont pas préparé à l’amour et il faudra qu’il fasse son apprentissage. A travers différentes expériences, Jean s’y appliquera et, peu à peu, il découvrira le bonheur.
La cruauté de l’analyse, le cynisme émouvant du héros et l’acidité du style font du roman d’Hervé Bazin un des meilleurs réquisitoires contre un certain type d’oppression familiale.

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Résumé de la vipère au poing...

Vipère au poing, c’est le combat impitoyable livré par Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et ses frères, à leur mère, une femme odieuse, qu’ils ont surnommée Folcoche. Cri de haine et de révolte, ce roman, largement autobiographique, le premier d’Hervé Bazin, lui apporta la célébrité et le classa d’emblée parmi les écrivains contemporains les plus lus.

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Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc (3, 13-19)

Jésus gravit la montagne, et il appela ceux qu’il voulait. Ils vinrent auprès de lui, et il en institua douze pour qu’ils soient avec lui, et pour les envoyer prêcher avec le pouvoir de chasser les esprits mauvais.
Donc, il institua les Douze : Pierre (c’est le nom qu’il donna à Simon), Jacques, fils de Zébédée, et Jean, le frère de Jacques, (il leur donna le nom de « Boanerguès », c’est-à-dire : « Fils du tonnerre »), André, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Thaddée, Simon le Zélote, et Judas Iscariote, celui-là même qui le livra.

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Il peut le direeeeeeeeee....


FRANCIS BLANCHE : Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, j'ai le grand plaisir honorifique de présenter à vous ce soir, n'est-ce pas, tout à fait exceptionnellement dans le plus simple appareil, une beauté qu'on vient d'arracher, à on ne sait pas à quoi d'ailleurs ! De vous présenter le Sar Rabindranath Duval, qui est le descendant authentique des grands Sars, des grands visionnaires de l'Inde, n'est-ce pas ! Votre Sérénité...
PIERRE DAC : Hum ! Hum !
FRANCIS BLANCHE : Vous avez bien dîné déjà ? Bon ! Vous descendez des grands Sars de l'Inde, n'est-ce pas ?
PIERRE DAC : Oui.
FRANCIS BLANCHE : Vous êtes né dans l'Inde ?
PIERRE DAC : je suis né dans l'Inde.
FRANCIS BLANCHE : À quel endroit de l'Inde ?
PIERRE DAC : Châteauroux.
FRANCIS BLANCHE : À Châteauroux ! Extraordinaire ! Vraiment ! D'ailleurs, je crois savoir de source sûre que votre père était hindou !
PIERRE DAC : Hindou, oui.
FRANCIS BLANCHE : Votre grand-père ?
PIERRE DAC : Hindou.
FRANCIS BLANCHE : Et votre arrière-grand-père ?
PIERRE DAC : C'était un dur.
FRANCIS BLANCHE : Voilà donc par conséquent, n'est-ce pas, il a depuis de longues années la pratique de la vision hindoue. Dites-moi, Votre Sérénité, vous avez le don de double vue ?
PIERRE DAC : Oui, je vois double.
FRANCIS BLANCHE : Il voit double ! Je m'en doutais un peu d'ailleurs ; vous voyez donc, mais c'est héréditaire ?
PIERRE DAC : Héréditaire !
FRANCIS BLANCHE : C'est atavique.
PIERRE DAC : Non, c'est à moi !
FRANCIS BLANCHE : Je veux dire, c'est congénital !
PIERRE DAC : Non c'est quand j'ai trop bu.
FRANCIS BLANCHE : II faut dire, n'est-ce pas, je tiens absolument à préciser que Sa Sérénité fait de grands exercices tous les jours, quotidiennement presque, pour conserver don de double vue. Il fait le yoga, n'est ce pas? Vous faites le yoga ?
PIERRE DAC : Oui, oui.
FRANCIS BLANCHE : C'est le yoga de...
PIERRE DAC: La Marine !
FRANCIS BLANCHE : Et il surveille également de très près son alimentation... Quelle est votre alimentation ? Qu' est-ce que vous prenez pour votre dîner ?
PIERRE DAC : Uniquement de la cuisine à l'huile.
FRANCIS BLANCHE : La cuisine des Sars ?
PIERRE DAC : La cuisine des Sars, oui !
FRANCIS BLANCHE : Oui, mais pourquoi ?
PIERRE DAC : Parce que les Sars dînent à l'huile !
FRANCIS BLANCHE : Les Sars dînent à l'huile ! Vraiment, ce n'est pas trop tiré les cheveux du tout parce qu'il n'en a plus ! Alors, si vous permettez, nous allons nous livrer sur quelques personnes de l'assistance publique à des expériences tout à fait extraordinaires. Votre Sérénité, je vais vous demander de vous concentrer soigneusement... Voilà ! Vous êtes concentré ?
PIERRE DAC : Je suis concentré.
FRANCIS BLANCHE : II est concentré... comme on dit chez Nestlé... parfait Votre Sérénité, concentrez-vous bien vous êtes en transe ?
PIERRE DAC : Oui, je suis en transe napolitaine.
FRANCIS BLANCHE : En transe napolitaine, n'est-ce pas? Votre Sérénité, concentrez-vous bien, et dites-moi, je vous prie, quel est le signe zodiacal de monsieur ?
PIERRE DAC : Monsieur est placé sous le double signe du Lion et du fox à poil dur.
FRANCIS BLANCHE : Oui, dites-moi quel est son caractère ?
PIERRE DAC : Impulsif, parallèle et simultané.
FRANCIS BLANCHE : Quel est son avenir ?
PIERRE DAC : Monsieur a son avenir devant lui, mais il l'aura dans le dos chaque fois qu'il fera demi-tour.
FRANCIS BLANCHE : Il est vraiment extraordinaire ! Voulez-vous me dire, à présent, quel est le signe zodiacal de mademoiselle ?
PIERRE DAC : Mademoiselle est placée sous le triple signe bénéfique de la Vierge , du Taureau et du Sagittaire avant de s'en servir.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! C'est ça. Il a raison ! Il a mis dans le mille, n'est-ce pas ? Il a mis dans lé mille, comme disait Jean-Jacques Rousseau. Votre Sérénité, au lieu de vous marrer comme une baleine... Excusez-nous, Sa Sérénité est en proie aux divinités contraires de l'Inde : Brahma et Vichnou. Brahma la guerre et Vichnou la paix. Voulez-vous me dire, s'il vous plaît, Votre Sérénité, quel est l'avenir de mademoiselle ?
PIERRE DAC : L'avenir de mademoiselle est conjugal et prolifique.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! Prolifique ?
PIERRE DAC : Oui !
FRANCIS BLANCHE : Qu'est-ce que ça veut dire ? Elle aura des enfants ?
PIERRE DAC : Oui !
FRANCIS BLANCHE : Des enfants ?
PIERRE DAC : Des jumelles.
FRANCIS BLANCHE : Des jumelles ! ! ! Combien ?
PIERRE DAC: Une paire avec la courroie et l'étui !
FRANCIS BLANCHE : Voulez-vous, à présent, je vous prie, me dire quel est le signe zodiacal de monsieur ?
PIERRE DAC : Ce monsieur est placé sous le signe de Neptune, Mercure au chrome.
FRANCIS BLANCHE : Quels sont ses goûts ?
PIERRE DAC : Monsieur a des goûts sportifs. Son sport préféré, le sport cycliste.
FRANCIS BLANCHE : Bien. Qu'il peut pratiquer sans inconvénient ?
PIERRE DAC : Oui, mais à condition toutefois de se méfier.
FRANCIS BLANCHE : Se méfier ? De qui ? De quoi ?
PIERRE DAC : De certaines personnes de son entourage qui prétendent que sa compétence dans le domaine de la pédale exerce une fâcheuse influence sur son comportement sentimental.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! Encore une fois vous avez mis dans le mille. Mais, dites-moi, qu'est-ce que vous lui conseillez municipal ?
PIERRE DAC : Je lui conseille vivement de ne pas changer de braquet et de surveiller son guidon.
FRANCIS BLANCHE : Votre Sérénité, tout à fait autre chose à présent. Pouvez-vous me dire quel est le sexe de monsieur ?
PIERRE DAC : Masculin.
FRANCIS BLANCHE : Oui. Vous êtes certain ?
PIERRE DAC: Oui. Vous pouvez vérifier.
FRANCIS BLANCHE : Non, non, on vous croit sur parole ! Et dites-moi, quelle est sa taille ?
PIERRE DAC: Un mètre soixante-seize debout, un mètre cinquante-six assis, zéro mètre quatre-vingt-trois roulé en boule.
FRANCIS BLANCHE : Et dites-moi, il pèse combien ?
PIERRE DAC : Oh... deux fois par mois !
FRANCIS BLANCHE : Non, non ! Excusez le Sar, n'est-ce pas, il ne comprend pas bien le français. Je vous demande quel est son poids P.O.I.X. ?
PIERRE DAC : Soixante-douze kilos cinq cents ! sans eau sans gaz et sans électricité.
FRANCIS BLANCHE : Oui, dites-moi quel est le degré d'instruction de monsieur ?
PIERRE DAC : Secondaire.
FRANCIS BLANCHE : Oui. Est-ce que monsieur a des diplômes ?
PIERRE DAC : Oui, monsieur est licencié G.L.
FRANCIS BLANCHE: Licencié G.L ? Qu'est-ce que ça veut dire ?
PIERRE DAC : Ça veut dire qu'il travaillait aux Galeries Lafayette et qu'on l'a foutu à la porte.
FRANCIS BLANCHE : S'il vous plaît, Votre Sérénité, concentrez-vous bien, combien monsieur a-t-il de dents ?
PIERRE DAC : Trente dedans et deux dehors !
FRANCIS BLANCHE : Voilà très bien ! Monsieur a-t-il des complexes
Pierre Dac : Oui! Monsieur fait complexe... À certains moments, il prend sa vessie pour une lanterne.
FRANCIS BLANCHE : Et alors ?
PIERRE DAC: Et alors, il se brûle !
FRANCIS BLANCHE : Dites-moi, Votre Sérénité, mon petit bonhomme, dites-moi de quelle nationalité est madame ?
PIERRE DAC : Française.
FRANCIS BLANCHE : Oui. Et son père ?
PIERRE DAC : Esquimo !
FRANCIS BLANCHE : Et sa mère ?
PIERRE DAC : Pochette-surprise !
FRANCIS BLANCHE : Très bien !... Et ta sœur ?
PIERRE DAC : Ma sœur, elle bat le beurre et quand elle battra...
FRANCIS BLANCHE: Bon, bon, oui, ça va !
PIERRE DAC : Escroc, voleur !
FRANCIS BLANCHE : Espèce de mal élevé, mauvaise éducation, excusez-le, il n'y a pas longtemps... Il en a une couche là-dessus ! Tiens, encore il y a trois ans, il n'avait même pas un plateau, il avait directement le pied de la table... Mais enfin, ça c'est autre chose... Votre Sérénité, pouvez-vous me dire, s'il vous plaît... ?
PIERRE DAC: Oui !
FRANCIS BLANCHE : Euh !
PIERRE DAC : Quoi ?
FRANCIS BLANCHE: Qu'est-ce que vous pouvez me dire ?
PIERRE DAC : Je peux vous dire que vous ne savez plus votre texte...
FRANCIS BLANCHE : Si vous étiez intelligent, dites-moi donc qu'est-ce que je dois vous demander à présent ? Votre Sérénité, pouvez-vous me dire, c'est très important, concentrez-vous, pouvez-vous me dire quel est le numéro du compte en banque de monsieur ?
PIERRE DAC : Oui.
FRANCIS BLANCHE : Vous pouvez le dire ?
PIERRE DAC : Oui ! !
FRANCIS BLANCHE : Vous pouvez le dire ?
PIERRE DAC : Oui !!
FRANCIS BLANCHE : Il peut le dire !! Bravo ! II est extraordinaire, il est vraiment sensationnel. Votre Sérénité, quelle est la nature du sous-vêtement de monsieur ?
PIERRE DAC : - Monsieur porte un slip.
FRANCIS BLANCHE : Oui. De quelle teinte ?
PIERRE DAC : Saumon fumé.
FRANCIS BLANCHE : Tiens, tiens, en quoi est-il ?
PIERRE DAC : En chachlick mercerisé.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! II a un signe particulier ?
PIERRE DAC : Oui. II y a quelque chose d'écrit dessus.
FRANCIS BLANCHE : Quoi donc ?
PIERRE DAC : Suivez la flèche.
FRANCIS BLANCHE : C'est merveilleux. Tout à fait extraordinaire ! Votre Sérénité, monsieur que voici que voilà a-t-il un signe particulier ?
PIERRE DAC : Oui, un tatouage.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! Un tatouage ! Très intéressant ! C'est bien exact, n'est-ce pas ? Je ne le lui fais pas dire ! C'est bien exact ! Et où se trouve situé le tatouage de monsieur ?
PIERRE DAC : Je suis extrêmement fatigué, je m'excuse...
FRANCIS BLANCHE : Allons, allons, voyons... Monsieur Schumaker !
PIERRE DAC : ... C'est très délicat et je suis fatigué.
FRANCIS BLANCHE : II est dans un état épouvantable, excusez-le. Votre sérénité, je vous demande où se trouve situé le tatouage de monsieur ?
PIERRE DAC : Le tatouage de monsieur est situé à un endroit que l'honnêteté et la décence m'interdisent de préciser d'avantage.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! bon, mais qu'est-ce que vous entendez par là ?
PIERRE DAC : Oh ! par là j'entends pas grand-chose !
FRANCIS BLANCHE : Je vous prie de vous concentrer davantage, espèce de malotrou ! Alors, que représente le tatouage de monsieur, s'il vous plaît ?
PIERRE DAC : Bon ! Le tatouage de monsieur représente... enfin... lorsque monsieur est en de bonnes dispositions... le tatouage représente : d'un côté la cueillette des olives en Basse-Provence, et de l'autre un épisode de la prise de la Smalah d'Abd el-Kader par les troupes du duc d'Aumale en 1843.
FRANCIS BLANCHE: Ah ! Parfait ! Et de plus ?
PIERRE DAC : Et c'est en couleurs !
FRANCIS BLANCHE : Ah ! C'est en couleurs ! Bravo ! Mes félicitations, monsieur ! Vraiment, si, si, vraiment très bien ; mes compliments, madame ! Madame a de la lecture pour les longues soirées d'hiver, c'est parfait. Votre Sérénité, vraiment, vous avez été extraordinaire, c'est vrai, vraiment, il est vareuse... il est vareuse...
PIERRE DAC : Eh ! ...
FRANCIS BLANCHE : Non, il est unique, pardon, je me suis trompé de vêtement, mais ça ne fait rien. Il ne me reste plus qu'à envoyer des baisers à l'assistance publique. Bonsoir, mesdames, bonsoir, mesdemoiselles et bonsoir, messieurs.

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LE MARIAGE DE FIGARO Acte V scène 3 Beaumarchais.

(Figaro, seul, se promenant dans l'obscurité, dit du ton le plus sombre) :
O femme! femme! femme! créature faible et décevante!... nul animal créé ne peut manquer à son instinct: le tien est-il donc de tromper?... Après m'avoir obstinément refusé quand je l'en pressais devant sa maîtresse; à l'instant qu'elle me donne sa parole, au milieu même de la cérémonie... Il riait en lisant, le perfide! et moi comme un benêt... Non, monsieur le Comte, vous ne l'aurez pas... vous ne l'aurez pas. Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie!... Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier! Qu'avez-vous fait pour tant de biens? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus. Du reste, homme assez ordinaire; tandis que moi, morbleu! perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes: et vous voulez jouter... On vient... c'est elle... ce n'est personne. - La nuit est noire en diable, et me voilà faisant le sot métier de mari quoique je ne le sois qu'à moitié! (Il s'assied sur un banc.) Est-il rien de plus bizarre que ma destinée? Fils de je ne sais pas qui, volé par des bandits, élevé dans leurs moeurs, je m'en dégoûte et veux courir une carrière honnête; et partout je suis repoussé! J'apprends la chimie, la pharmacie, la chirurgie, et tout le crédit d'un grand seigneur peut à peine me mettre à la main une lancette vétérinaire! - Las d'attrister des bêtes malades, et pour faire un métier contraire, je me jette à corps perdu dans le théâtre: me fussé-je mis une pierre au cou! Je broche une comédie dans les moeurs du sérail. Auteur espagnol, je crois pouvoir y fronder Mahomet sans scrupule: à l'instant un envoyé... de je ne sais où se plaint que j'offense dans mes vers la Sublime-Porte , la Perse , une partie de la presqu'île de l'Inde, toute l'Egypte, les royaumes de Barca, de Tripoli, de Tunis, d'Alger et de Maroc: et voilà ma comédie flambée, pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l'omoplate, en nous disant: chiens de chrétiens! - Ne pouvant avilir l'esprit, on se venge en le maltraitant. - Mes joues creusaient, mon terme était échu: je voyais de loin arriver l'affreux recors, la plume fichée dans sa perruque: en frémissant je m'évertue. Il s'élève une question sur la nature des richesses; et, comme il n'est pas nécessaire de tenir les choses pour en raisonner, n'ayant pas un sol, j'écris sur la valeur de l'argent et sur son produit net: sitôt je vois du fond d'un fiacre baisser pour moi le pont d'un château fort, à l'entrée duquel je laissai l'espérance et la liberté. (Il se lève.) Que je voudrais bien tenir un de ces puissants de quatre jours, si légers sur le mal qu'ils ordonnent, quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil! Je lui dirais... que les sottises imprimées n'ont d'importance qu'aux lieux où l'on en gêne le cours; que sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur; et qu'il n'y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits. (Il se rassied.) Las de nourrir un obscur pensionnaire, on me met un jour dans la rue; et comme il faut dîner, quoiqu'on ne soit plus en prison, je taille encore ma plume et demande à chacun de quoi il est question: on me dit que, pendant ma retraite économique, il s'est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions, qui s'étend même à celles de la presse; et que, pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni dé la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs. Pour profiter de cette douce liberté, j'annonce un écrit périodique, et, croyant n'aller sur les brisées d'aucun autre, je le nomme Journal inutile. Pou-ou! je vois s'élever contre moi mille pauvres diables à la feuille, on me supprime, et me voilà derechef sans emploi! - Le désespoir m'allait saisir; on pense à moi pour une place, mais par malheur j'y étais propre: il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler; je me fais banquier de pharaon: alors, bonnes gens! je soupe en ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup je quittais le monde, et vingt brasses d'eau m'en allaient séparer, lorsqu'un dieu bienfaisant m'appelle à mon premier état. Je reprends ma trousse et mon cuir anglais; puis, laissant la fumée aux sots qui s'en nourrissent, et la honte au milieu du chemin, comme trop lourde à un piéton, je vais rasant de ville en ville, et je vis enfin sans souci. Un grand seigneur passe à Séville; il me reconnaît, je le marie; et pour prix d'avoir eu par mes soins son épouse, il veut intercepter la mienne! Intrigue, orage à ce sujet. Prêt à tomber dans un abîme, au moment d'épouser ma mère, mes parents m'arrivent à la file. (Il se lève en s'échauffant.) On se débat, c'est vous, c'est lui, c'est moi, c'est toi, non, ce n'est pas nous; eh! mais qui donc? (Il retombe assis,) O bizarre suite d'événements! Comment cela m'est-il arrivé? Pourquoi ces choses et non pas d'autres? Qui les a fixées sur ma tête? Forcé de parcourir la route où je suis entré sans le savoir, comme j'en sortirai sans le vouloir, je l'ai jonchée d'autant de fleurs que ma gaieté me l'a permis: encore je dis ma gaieté sans savoir si elle est à moi plus que le reste, ni même quel est ce moi dont je m'occupe: un assemblage informe de parties inconnues; puis un chétif être imbécile; un petit animal folâtre; un jeune homme ardent au plaisir, ayant tous les goûts pour jouir, faisant tous les métiers pour vivre; maître ici, valet là, selon qu'il plaît à la fortune; ambitieux par vanité, laborieux par nécessité, mais paresseux... avec délices! orateur selon le danger; poète par délassement; musicien par occasion; amoureux par folles bouffées, j'ai tout vu, tout fait, tout usé. Puis l'illusion s'est détruite et, trop désabusé... Désabusé...! Suzon, Suzon, Suzon! que tu me donnes de tourments!... J'entends marcher... on vient. Voici l'instant de la crise. (Il se retire près de la première coulisse à sa droite.)

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Boss ex
Dis dans ta bibliothèque tu pourrais pas lire Dune
C'est le roman de Frank Herbert publié en 1965 pour m'en faire un résumé rapide, mais commence par la première partie qui débute en l'an 10191 après la création de la Guilde spatiale. L'époque où l’empereur Shaddam IV exerce son pouvoir féodal sur tout l’univers connu. L’humanité a conquis une grande étendue de l’univers, notamment grâce à une mystérieuse substance dénommée « Épice » ou « Mélange ». L’Épice constitue un puissant stimulant cérébral et permet à certains humains de décupler leurs capacités psychiques. De plus, elle accroît considérablement la durée de vie et immunise le corps contre de nombreuses maladies. Son origine précise est un mystère et les quantités disponibles sont rarissimes ; elle est par ailleurs impossible à synthétiser. L'ensemble de ces paramètres lui confère une valeur monétaire particulièrement élevée.
Je te résume vite car je me suis endormi
Bon alors
On ne trouve l'Épice que sur la planète Arrakis, la planète des sables que ses habitants, les Fremens, appellent « Dune ». Cet endroit intéresse donc toutes les factions importantes de cet univers. Du fait de l’absence de précipitations, l’eau est rare et extrêmement précieuse sur Arrakis. Elle constitue une monnaie d’échange et de nombreux dispositifs permettent de l’économiser ou de la récupérer
La galaxie a été autrefois le théâtre du Jihad Butlérien, lorsque les humains se sont libérés du joug des Machines Pensantes et des robots conscients. Toute forme d’intelligence artificielle étant désormais proscrite, on a spécialisé des hommes dans certaines tâches : les mentats, par exemple, sont de véritables ordinateurs humains. La Guilde spatiale, en l’absence d’ordinateurs, a pris le contrôle des voyages intersidéraux : en effet, après un long apprentissage et une mutation totale de leur être par l’Épice qui leur donne des dons de prescience, ses navigateurs sont les seuls êtres aptes à pouvoir calculer des trajectoires sûres pour les voyages spatiaux.

Le Duc Leto de la Maison Atréides règne sur Caladan, une planète agricole et océanique. Sa concubine, Dame Jessica, est une Bene Gesserit, école exclusivement féminine aux visées politiques mystérieuses et aux pouvoirs non moins étranges. Par amour pour Leto, Jessica lui a donné un fils, Paul Atréides, désobéissant en cela aux directives du Bene Gesserit dont le programme génétique prévoyait qu’elle engendre une fille. Les Bene Gesserit, surnommées les « Sorcières » par ceux qui les craignent, cherchent à créer un mâle, par sélection génétique, qui pourra voir ce qu’elles ne peuvent voir : le Kwisatz Haderach.

Paul, le fils de Leto et sa concubine, Jessica, est formé par les meilleurs guerriers de l’Empire (Thufir Hawat, Duncan Idaho, Gurney Halleck) à l’art du combat (au couteau car c’est l’arme la plus efficace depuis l’invention du bouclier). Qui plus est, il bénéficie de l’enseignement Bene Gesserit de sa mère sur le contrôle du corps et du système nerveux et est devenu un combattant redoutable. Il possède aussi des dons latents de prescience et d’analyse mentat.

L’Empereur confie la planète Arrakis, jusqu'alors fief de la Maison Harkonnen, à l'ennemi héréditaire de celle-ci, la Maison Atréides. Mais devant la popularité grandissante de son cousin Leto, le « Duc Rouge » (en référence à son titre de chevalier et au faucon à crête rouge de l'emblème des Atréides), auprès du Landsraad, l’Empereur joue un double jeu. Il complote en secret avec la Maison Harkonnen afin de faire tomber la Maison Atréides dans le piège d’Arrakis. Leto est trahi par son propre médecin Suk, Wellington Yueh, et livré aux Harkonnens assistés secrètement par les troupes d’élite de l’Empereur (les Sardaukars). Yueh veut venger sa femme, captive du Baron et soumise à d'effroyables tortures dans les amplificateurs de douleur de Piter de Vries, le cruel Mentat "tordu" du Baron. Il espère tuer le Baron Vladimir Harkonnen, au moyen d’un gaz toxique qu'il a dissimulé dans une dent creuse implantée dans la bouche de Leto juste avant sa capture. Jessica et Paul s’enfuient dans le désert où ils sont aidés par les Fremen conduits par le naib Stilgar et Liet Kynes, ce dernier étant officiellement planétologiste impérial et l’arbitre du changement de fief.
Jessica et Paul se réfugient chez les Fremen, peuple du désert « natif » d’Arrakis. Guidés par Liet Kynes, les Fremen voient en Paul un Messie, leur Mahdi, qui apportera le bonheur et l’eau à leur peuple. Paul devient alors Muad’dib et prend une Fremen comme concubine : Chani, la fille de Liet et Sayyadina du Sietch Tabr.

Utilisant la Missionaria Protectiva, Jessica devient la nouvelle Révérende Mère du Sietch, après avoir transformé l’Eau de Vie — eau dans laquelle est noyé un ver nouveau-né. Peu après, elle donne naissance à Alia, la fille du Duc et sœur de Paul. Au fil du temps, Paul Muad’dib et Jessica rassemblent les tribus Fremen et harcèlent le neveu du Baron Harkonnen, Glossu Rabban, qui a la gérance d’Arrakis. La Maison Harkonnen va devoir affronter la puissance tapie dans le désert et réveillée par Muad’dib.
Peu à peu, au contact de l’Épice, Paul s’éveille à la prescience. Il a une révélation lorsqu’il absorbe l’Eau de Vie, poison que seules les Bene Gesserit sont censées pouvoir neutraliser par une adaptation volontaire de leur métabolisme. Muad’dib peut voir le « maintenant », il peut voir en tout lieu ce qu’il s’y passe. Considéré comme le Kwisatz Haderach, il est en fait autre chose… peut être bien plus…
Donc arrivé là je me suis endormi

Alors Boss Ex après il se passe quoi

Dis Boss Ex il se passe quoi ?

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ca y et ils ont peter un cable

ICI SAIS TRICOT PAS ATELIER DE LECTURE

merle alor

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pas mal le resume de l'AG un peut court mais tres interressant enfin je dit ça je dit rien

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braco a écrit:
pas mal le resume de l'AG un peut court mais tres interressant enfin je dit ça je dit rien




 lol! lol! lol! lol! lol! 

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pilous a écrit:
C'est vrai surtout que c'est Demain  lol! 




y'a quoi demain  Suspect Suspect 

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